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Histoire secrète d'une vie

Histoire secrète d'une vie

Christian RICARD

Dans ses mémoires, Christian RICARD décrit avec tact les périodes difficiles de sa vie, notamment pendant la guerre 39/45. Il analyse un passé tortueux avec lucidité et commente les principaux événements historiques qui ont jalonné sa vie.

J’étais né comme naissent les hommes ou les étoiles, mais outre-rhin un führer qui devait faire trembler le monde venait de prendre le pouvoir ! C’est ainsi donc que j’ouvris les yeux, le 22 du mois d’octobre 1933, dans cette pièce unique où vivaient alors mes parents, et mon frère. Quelques jours après, le couple déménagea non loin de là, au 20 Bd de Bonald, afin d’avoir un peu plus de place et de confort, malgré une centaine d’escaliers à gravir, poussés par le besoin, afin d’élever avec plus de facilités, ses deux enfants. Il ne se doutait pas que ce logement deviendrait un point de ralliement pour la famille durant plus de 30 ans. Pendant ce temps, en Allemagne, ainsi que déjà cité plus avant, Hitler s’en venait au pouvoir, marquant de son empreinte cette année fatidique, et le destin des hommes, lequel s’accomplissait selon les vues et les convenances du destin, avec l’appui de l’ennemi du genre humain, Satan, cependant vaincu récemment en Espagne, par le Caudillo Franco et ses troupes se réclamant de la chrétienté souveraine. Cette défaite communiste nous valut pourtant, plus tard, bien des règlements de compte, et des agressions commises dans nos campagnes par les espagnols républicains réfugiés dans nos maquis cévenols, au nom de Staline, remplaçant ainsi le bon Dieu.

 

 
Du désert mental au désert médical

Du désert mental au désert médical

André FOURNIER

Gabriel, jeune médecin, pur produit d’un monde d’indifférence, de loisirs et de recherche de confort mental, propulsé contre son gré dans une contrée en voie de désertification, subit une métamorphose de son esprit au contact de personnages pittoresques et débordants d’humanité et du Docteur Bogorase vieux médecin de campagne, intarissable sur sa vie et les situations médicales marquantes qu’il à vécu, truffées d’anecdotes cocasses et de réflexions basées sur son expérience.

 
D'où l'on vient et où l'on va...

D'où l'on vient et où l'on va...

Carole PICCARD

A 27 ans, j’ai opéré ce que l’on appelle un choix de vie, une expérience de vie et désormais je ne vois même plus comment le nommer…
Une fierté ?
Une richesse ?
Quelque chose qui ne s’explique pas ?
Quelque chose qui ne se dépeint pas ?
Quelque chose qui m’habite ?
Je crois que voilà, c’est cela…quelque chose qui m’habite !
Aujourd’hui, je ne suis plus la même qu’hier et pourtant, c’est cette même personne qui a, un jour, décidé de prendre son sac de cinquante litres, de prendre un billet aller sans retour, un billet pour la vie, un billet pour l’aventure, un billet pour l’inconnu, un billet pour nulle part.

 
Clairvaux, un vallon, une histoire

Clairvaux, un vallon, une histoire

Bernard MASSON

Clairvaux est un vallon ouvert au soleil levant.
De tels sites, il en est des centaines, ourlant le relief de la côte des Bar, limite orientale du bassin parisien. Il s’agit du Barrois et, tout proche, du plateau de Langres, terre pauvre en ressources mais riche de légendes et d’histoire.
La Seine, l’Aube, la Marne ont creusé des vallées parfois étroites dans des sols calcaires. Vallons, vals ou « valottes » s’ouvrent sur ces rivières. Clairvaux est l’un d’eux ; il débouche sur l’Aube la blanche.
Ce val « clair » fut, est durablement habité. Sa population, ou plutôt ses habitants successifs ont fait l’histoire de Clairvaux, histoire qui mérite bien d’être racontée ou relue.
Le « lieu d’horreur et de profonde solitude » ne devient-il pas en deux ou trois décennies un des centres de la Chrétienté, un des centres de l’Europe médiévale, une Europe sans frontières ?
Papes et Rois ont pénétré dans le vallon.

 
Amour et Basse Normandie, entre Angleterre et France

Amour et Basse Normandie, entre Angleterre et France

Vinson FISHER

William de Jumièges dans le septième manuscrit de la « Normannorum Gesta » écrit dans ce texte, qui couvre la période de la mort d’Edouard le Confesseur au couronnement de Guillaume dans l’Abbaye de Westminster, les détails de la flotte normande d’invasion, soit 3000 navires. 
Guillaume le conquérant voit le jour en 1027 à Falaise, dans le château des Ducs de Normandie. 
Au moment même de la naissance de l’Europe, Guillaume deviendra Duc de Normandie et réunira autour de son oriflamme toute la Normandie, homme de guerre il consolidera la paix et développera les services secrets normands, avant de se lancer vers sa surprenante destinée pour monter un jour sur le trône d’Angleterre dés la mort du Roi Edouard dit le confesseur. 
Dans ce volume, nous suivons cet homme extraordinaire et hors normes, de sa naissance à la préparation de l’invasion normande de l’Angleterre, en découvrant comment ce conquérant d’exception prend à chaque instant de sa vie son fabuleux destin entre ses mains. 
La bataille de Mantes sera sa dernière bataille avec les français de Philippe 1er de France et c’est l’arçon de sa selle de cheval qui aura raison de lui.

 
Les ombres et le soleil de la vie

Les ombres et le soleil de la vie

Chrystel PASQUET

MARIE subit les coups malheureux et tragiques du destin, suite à la mort subite de son petit garçon, la perte de sa fille à la naissance et une agression sexuelle quelques temps après. 
Dans ce recueil il y a beaucoup de tendresse, d’authenticité et un espoir qui ne l’abandonnera jamais, car elle sent au fond de son cœur que le bonheur arrivera un jour à sa porte.

 
20 ans d'injustice

20 ans d'injustice

Zara ABAKAR

Mariée de force à l’âge de 15 ans, femme battue, jetée à la rue sans ses quatre enfants, humiliée...
Mais femme toujours debout ! 
C’est le combat d’une femme qui se bat depuis 20 ans contre une Justice qui ne veut pas l’écouter, le combat d’une femme qui souhaite retrouver son honneur. 

 
L'insurgé et la fureur d'écrire

L'insurgé et la fureur d'écrire

Lakhdar KHELFAOUI

A paraître

« L’insurgé et la fureur d’écrire » : une fidèle traduction de quelques

chroniques de presse parues au journal El-Kilaâ durant la guerre civile en Algérie des années 90.

Une critique socio-politique du drame algérien.

Très jeune, Lakhdar Khelfaoui embrasse les tribunes de la presse écrite

algérienne. Comme tous ces jeunes rêveurs d’un avenir meilleur sans le monopole

du FLN, le parti décideur et unique depuis l’indépendance, Lakhdar Khelfaoui

utilise tous ces moyens d’expression pour caresser ce « rêve ». La liberté de

pensée et d’opinion.

Artiste-peintre, calligraphe, photographe, pigiste dans quelques titres de la

presse écrite, et surtout poète en herbe avec une énergie inégalée et

enthousiasme débordant.

Il était l’exception par rapport à ses paires, un ovni bourré de multiples projets

et idées culturelles.

Il débute sa carrière de journaliste-pigiste précocement en classe terminale.

Ses participations et écrits ont été accueillis à bras ouverts par nombreux titres

de la nouvelle ère démocratique, le quotidien El-Khabar (l’info)

l’hebdomadaire Adhwae (lumières) El-Wehda... etc.

Puis il a rejoint l’hebdomadaire des Aurès (El-Awress) à Batna, ainsi l’heb-

domadaire Acharq-El-Jaza’iri (l’Est algérien), sa révolte intellectuelle et lutte pour les libertés l'ont emmené droit  à la tête d'un journal en tant que Rédacteur-en-chef, directeur de publication El-Kilaâ (Citadelles), hebdomadaire national ( censuré).Installé en France depuis plusieurs années, Lakhdar KHELFAOUI est l'auteur de quelques ouvrages en multiples genres littéraires: "Majda, l'amour jusqu'à la mort" (poésie), "Sun-Night, les identités mutilées" (roman), "Reviens à moi, l'ivresse des mots" (poésie), "L'incompris, lettre ouverte à Allah" (poésie).

 
Le Gamjamad

Le Gamjamad

Jean-Louis Poullain

Qui peut bien être le Gamjamad ? Fils d’un professeur de maths, né à Bourges en 1929, il était l’aîné de trois enfants. Il n’avait que 10 ans à la déclaration de la drôle de guerre et il a subi sans dommages apparents – hormis les engelures – les affres de l’occupation allemande. Après la liesse de la Libération, il a poursuivi ses études secondaires à Versailles jusqu’en classe de Maths Spé. mais, saturé de maths jusqu’à l’écœurement, il a bifurqué vers le dessin... pas d’art mais industriel, au grand dam de son père qui le voyait déjà coiffé du bicorne de l’X. Son diplôme de projeteur lui a permis de collaborer avec un jeune architecte frais émoulu de ses études, connaissance du lycée Hoche et qui s’était installé à Bourges. Après quelques années et deux décès imprévus dans sa famille, il a abandonné Bourges pour le pays où stridulent les cigales et où nous le retrouverons bientôt.