Notre catalogue

Une autre voie, une autre voix

Une autre voie, une autre voix

Maria NIEDDU

Le lecteur est plongé dans la réalité d’histoires d’angoisse au quotidien, comme s’il regardait des vieux films « noirs ».
Le sujet de chaque histoire est une de ces peurs qui, en général, dominent ce monde, en le rendant, pour ses habitants, un lieu de désespération, plus ou moins consciente.
L’auteur propose, ensuite, une autre voie, une sorte de « soin » qui pourrait, avec ses multiples facettes, conduire les Humains vers une nouvelle vision de la Vie et du Monde.

 
Le lieutenant de Gaulle au chemin des Dames (1914-1915)

Le lieutenant de Gaulle au chemin des Dames (1914-1915)

Raymond Jean Claude MOUSSU

Raymond Jean Claude MOUSSU, du contingent 572 C, a débarqué en Algérie le 4 mai 1958, au moment où le général de Gaulle venait d’être porté au pouvoir par le précédent gouvernement démissionnaire, à l’heure où tous les départements français (Alger, Oran, Constantine et toute l’Algérie) étaient en effervescence. 
Affecté en A.F.N., au service du trésorier, l’auteur a suivi les lois et décrets chaque année lors de la séance d’octobre.

Dans cet essai historique, l’auteur traite avec précision et détails de la participation de Charles de Gaulle lors du soulèvement des colonies, de la Guinée, des avantages accordés à l’Immobilier, l’Epargne et le Travail et des avantages accordés au rapatriés d’Algérie et aux Harkis. 

 
Le Sel de la Terre

Le Sel de la Terre

Robert BONNEFOY

Presque arrivé sur le Col, un vent glacial qui ne m’avait pas quitté, m’accompagnait encore, comme s’il tenait à ne pas me lâcher… Au centre de ce panorama glacé, je pouvais distinguer les Chalets des Thures en contrebas où j’étais venu si souvent lorsque j’étais plus jeune. Mes skis m’avaient dirigé sans même que je le leur demande, vers l’un des premiers chalets, proche des 2105 mètres d’altitude. Il m’attendait, comme s’il m’avait aperçu venir jusqu’à lui et s’était d’un coup dressé devant moi, comme si je l’avais oublié, et qu’il me faisait un reproche et parce qu’il ne voulait pas que cela fut ainsi. Il semblait m’attendre... Mais comment oublier ce chalet ? Comment oublier ce lieu ?
De fortes et belles congères montaient jusqu’aux toits des chalets et les masquaient presque. Tout semblait comme englouti par la neige. Même les portes demeuraient obstruées par des congères gigantesques. Personne n’était venu ici, et sans doute personne n’avait osé s’y aventurer à nouveau. Les montagnards parlent souvent dans leurs histoires de « montagne meurtrière », comme si la montagne seule pouvait être une ennemie et interdite... Cet endroit était un sanctuaire... Sans doute qu’il n’y avait plus rien à y voir ? Sans doute qu’il n’y avait aussi plus rien à y déranger ? Les gens du village avaient raconté qu’ils avaient trouvé des seaux renversés et le sang du berger qui s’était mélangé au lait des vaches et à la terre...
Comment aurais je pu oublier ces lieux, cet endroit, ces vieux chalets où rien n’avait bougé et qui gardaient si précieusement tant de souvenirs ?
J’imaginais sous mes pieds le sol, la terre qui s’était imbibée des eaux de fonte des toits et s’infiltrant en elle, les seaux de lait renversés et le sang de Jean le Berger et sous la neige, le sel de la terre...

 
De l'obscurité à la lumière

De l'obscurité à la lumière

Béatrice LAMBERT

Ce puissant récit de vie témoigne de l’existence de Béatrice Lambert, qui ne l’a pas épargnée, ainsi d’un lien indéfectible entretenu par ses « guides ».
Par le biais de messages qui lui sont transmis, Béatrice vous relate comment combattre diverses épreuves pour remporter toutes les batailles sur la vie.
C’est habitée de passion, du plus profond du coeur, de sincérité que Béatrice met son don au service de ceux qui en ont besoin.
Ce témoignage est une merveilleuse leçon de vie, et un puissant message d’espoir à mettre entre toutes les mains.
Vous comprendrez et constaterez que l’impossible devient possible.

 
Emile Médard

Emile Médard

Lydie MARAIS

Michelle-Françoise est la fi lle unique de Emile Médard le héros de cet ouvrage. Moi Lydie Marais je suis la fi lle de Michelle et la petite fi lle avec mes deux sœurs,  du Sergent Médard ; j’ai fait des études de Lettres et d’Histoire, l’écriture est mon élément ; j’ai tenté de rassembler des documents divers sur une période de 26 ans - de 1912 à 1938 - le but est de parler de ma famille, et de mon grand-père, vaillant soldat patriote tel qu’on en a eu fort besoin en 1914/18 pour gagner la guerre.

 
Paris-Libreville

Paris-Libreville

Anne-Lise TRICOCHE

Un jour de doute et d’anxiété Gabriel reçoit un appel inconnu. Au bout du fil à 6000 kilomètres de là son interlocuteur lui apprend que sa sœur, Anne, victime d’un accident est plongée dans le coma. Obligé de retourner sur les lieux de son enfance pour s’occuper de Nina, sa nièce, il retrouve ce qu’il avait perdu : son amour pour le Gabon, ce pays qu’il avait quitté un soir d’été. Guidé par ses souvenirs il découvre le quotidien d’Anne à travers les yeux et les mots de sa fille. 
Ce petit bout de terre est une histoire de famille et se transmet de génération en génération. C’est une passion virale que Gabriel tentera de léguer à Nina. 
Entre le journal intime d’Anne et les lettres de Nina à sa mère, Gabriel évolue dans un environnement où les joies se mêlent aux peines. 

 
Mon père, cet inconnu

Mon père, cet inconnu

André DELBECQ

Un homme,  un village, deux pays : quatre destins étroitement liés.

L’auteur, à partir de 1866 et à travers la biographie de son père né en 1911, nous envoie une carte postale de la vie quotidienne de ce petit village franco-belge qui sent bon le ch’ti.

 De nombreuses  anecdotes et de fréquents rappels historiques émaillent ce récit qui analyse les événements  importants  survenus entre 1866 et 1979.  

 Avec  modération, mais sans concession, l’auteur remet les pendules à l’heure et  coupe le cou à certaines croyances souvent bien ancrées.

Enfin, il lance un vibrant appel aux jeunes  pour une société plus juste dans  une Europe unie.

 
Et Dieu m'apparut...

Et Dieu m'apparut...

Didier LOYNEL

Le nouveau livre du Dieu d’amour transmis du 4 janvier 2016 au 31 mars 2017 à Didouche pour réinitialiser toutes les religions de tous les continents...

 
A Mimie avec notre amour et notre gratitude

A Mimie avec notre amour et notre gratitude

Cyrielle MARAIS

Dans Laisse braire, le premier roman de Cyrielle Marais, les règlements de comptes avaient la vedette, la narratrice et personnage principal, se battait dans un harcèlement moral aux multiples visages, pour  tenter de se construire ; son seul soutient et complice, sa mère.
Dans ce deuxième épisode, celle-ci vient de mourir laissant sa fille adorée totalement démunie, en voie de clochardisation.
Depuis cinq ans, elles s’étaient réfugiées toutes les deux dans un quartier tranquille, après avoir fuit la haine d’un voisinage qui répandait sur leur quotidien un vent malsain.  
Et là, c’est simplement le temps qui joue son rôle de guillotine. 
La mort frappe les animaux et la doyenne, celle qui était la force, l’amour, et… le porte-monnaie.
Nelly se retrouve seule sans avoir prévu son futur ni même son présent. 
Son équilibre  s’effondre ; déchirée entre le désir de survivre et un immense chagrin, la narratrice n’a plus que les mots  tapés sur le clavier pour ne pas sombrer dans une effroyable solitude de l’âme.
 

 
Laisse braire

Laisse braire

Cyrielle MARAIS

Ceci n’est pas le journal d’une parano. C’est l’histoire de Nelly qui ose raconter sa dérive sociale et sentimentale. Sa : « dérêve ». Elle le fait dans un magma littéraire drôle et sinistre. La jeune femme a pris un chouette mauvais départ dans la vie. Elle souffre d’être orpheline, d’être affublée d’une étiquette de Tanguy, de Peter Pan, de gamine mal dans sa peau. C’est vrai qu’elle est dans la provoc’, mais avec charme et culture. Aussi avec du cœur le plus souvent. Sa beauté n’efface pas son mal-être. 
Ses seuls alliés sont une pugnacité parfois violente, et l’amour puissant de sa mère.
Nelly réussira-t-elle à remonter sa pente de dos les yeux bandés... Réussira-t-elle à gommer le temps, l’échec scolaire, qui ont plombé son futur ?

 
La voix du slience

La voix du slience

Robert BONNEFOY

Robert Bonnefoy est né à Marseille en 1947. Il a passé son enfance dans cette ville au sortir de la dernière guerre, tout près du célèbre Alcazar, puis à Cuges - les - Pins sous Aubagne et le Garlaban, sur les traces encore fraîches de Marcel Pagnol. Plus tard, son adolescence fut à Carry le Rouet, sur la Côte Bleue, dans le petit village de Fernandel. Les études chez les Frères Maristes, puis supérieures dans des Ecoles de Commerce ont peaufiné son éducation. Sa soif de savoir, lui a ouvert la porte à d’autres diplômes : l’encadrement d’enfants, le ski, l’escalade, l’alpinisme, le secourisme et le secours en montagne. L’écriture et la philosophie sont alors devenues presque naturellement pour lui une manière de vivre, dont il a voulu rajouter l’Art avec la poésie classique. Robert porte à son actif de nombreux prix et distinctions littéraires. Aujourd’hui, Robert est invalide et dans un fauteuil roulant à la suite d’une agression et il se plaît à dire et à répéter : « Celui qui est dans cette ‘’chose roulante’’ porte sa croix et devient plus sensible que n’importe quelle autre personne, car il endure les épreuves. Pour un montagnard, un skieur - alpiniste, perdre ses jambes est la pire chose ! Mais après l’anéantissement, le trou, le vide, je peux dire aujourd’hui que la foi m’est chère. Le guide de montagne se laisse à son tour guider, sans aucune peur. Mon propre silence s’est mis en communion avec un autre silence, celui qui vient d’en haut. Désormais mon Véritable Guide me tient par la main et je l’écoute en silence ! »

 
Mes trois ans dans la gueule du loup

Mes trois ans dans la gueule du loup

Marie IANNIZZI

Non seulement tu n as rien fait pour me rendre heureuse...

...Non. C’est encore pire que ça. Tu as tout fait pour me rendre malheureuse. Et là, tu as le mérite d’avoir développé des trésors d’imagination.Tu y as mis beaucoup d’énergie. Je n’aurai jamais pensé que ça puisse exister de vivre « ça », de faire vivre un tel cauchemar à quelqu’un. Pourtant je l’ai vécu. Moi qui croyais qu’on ne voyais « cela » que dans les films, tellement c’était énorme dans la perversion, tant c’était poussé dans la torture mentale, le machiavélisme, la méchanceté gratuite.

Même moi j’ai du mal à le croire tant ça paraît irréel... C’est de la science fiction...