Saint Paul est une ile déserte située au milieu de l’océan Indien. Le ministère de la justice y tente une expérience originale : proposer à des détenus, condamnés à des peines de très longue durée, une résidence d’un an dans l’ile en totale autonomie et dans un dénuement extrême. Au terme de laquelle ils seront libres.
L’enjeu est de proposer à ces résidents une possibilité de se reconstruire individuellement et collectivement afin de réussir leur retour dans la société. 
Le roman propose, en trame de fond, une réflexion sur les thèmes de la loi, de la justice, du châtiment et de la réinsertion. 
Mais il aborde également la question de la relation entre l’individu et le groupe. En référence à certains travaux sociologiques récents, il propose un exemple de la construction d’un groupe relativement homogène par des individus initialement très différents, parce qu’ils sont obligés de cohabiter dans un milieu hostile. 
Cette cohabitation et ses conséquences constituent une alternative à l’internement de longue durée et pour une réinsertion plus rapide et plus réussie.   

... Aidé par la lumière tamisée du globe de verre dépoli trônant juste au-dessus de sa tête, son visage arrive par dizaine dans le spectre du reflet des bouteilles au sol. Avec ses pieds, il les tourne et les retourne, espérant peut-être voir autre chose que sa tronche perdue ; mais en vain. Peu après, il commence à s’oublier, au grand dam de sa femme qui l’attend encore au lit, et son âme suit implacablement le voyage dans les interstices chromatiques de fioles de cristal ; les pieds là, la tête ailleurs.

Juste après la fête d’anniversaire de ses quarante ans, Karifa est saisi à la mémoire par des vagues d’images sombres et floues. Avec sa douce femme Sarah, commence alors un périple de haut et de bas ; Madame est convaincue que le dénouement de la situation se trouve entre les mains d’un psychologue, Monsieur est d’accord avec tout sauf cette idée. Remettre la clé de son intime à un inconnu est, pour lui, tout simple la folie ! Dans ce blocage, jaillit donc, de façon tout à fait hasardeuse, une providence...

OUVRAGE ILLUSTRÉ COULEUR

Le rêve naquit en 1855 en Egypte, sur une terre africaine. Il sortait pour la première fois de son petit royaume exigu, se complaisant dans son statut constitutionnel d’un Etat neutre. Il se rendit compte que les grandes puissances européennes avaient acquis d’immenses colonies en dehors de la Métropole. Il découvrit également les travaux gigantesques du percement du Canal de Suez, reliant la Méditerranée à la mer rouge pour favoriser le commerce international. L’acquisition d’une colonie en Afrique fut son rêve. Il restait à trouver le moyen pour s’installer sans bruit, au cœur de ce continent encore mystérieux. 
Ce fut plus tard en 1878, l’explorateur anglo-américain Henry Morton Stanrley  lui ouvrit les portes de l’Afrique. Il trouva un discours convain-quant pour pénétrer au cœur de l’Afrique.  La « philanthropie » fut son crédo. Il faut apporter là-bas, la civilisation, arrêter la pauvreté, créer les hôpitaux, abolition définitive de l’esclavage aux mains des Arabes.  Par un tour de magie acrobatique, il trouva audiance au Congrès de Berlin de 1884 - 1885.

Ce récit pourrait vous paraître banal. 
Il raconte l’histoire d’un amour interdit entre deux personnes qui ne se seraient jamais rencontrées dans un autre contexte. 
Il emporte le lecteur qui,  à travers leur échange de messages, au fil des jours, découvrira la naissance de leur amour. Une histoire dans l’air du temps, moderne et intemporelle, bref, le roman de la vie quotidienne...

En naissant nous croyons tous avoir notre destin en main, mais au fond, il tient notre existence dans la sienne. Il est d’ailleurs impossible de s’en échapper, car il maintien entre ses mains le pouvoir mortel. S’il n’y dans la vie que des commencements, il n’y a pas de hasard à rencontrer sa destinée, elle nous accompagne tout au long de notre chemin terrestre. On peut la croiser partout, et à n’importe quel instant, car la mort vient souvent en rodant et elle est pressée à détruire, ainsi le veut le destin ; que d’existences bouleversées pour un instant d’égarement.
Dans cet ouvrage, l’auteur jette un regard sur des évènements parfois des plus insolites. Il évoque des histoires qui loin d’être gravées dans le marbre, contiennent néanmoins une abondance d’anecdotes basée sur des faits réels.
Certes, elles se ressemblent, mais chacune à sa propre identité. Toutes, cruelles ou sordides, sont néanmoins indispensables à quiconque s’intéresse au passé.

Ce livre dévoile mes parcours cachés et leurs aventures qui m’ont enrichi chaque jour. Comme disait Prévert : « il y a tant de temps que j’attends »… De pouvoir les écrire, car l’Afrique est un mille-feuilles fourré de milliers de maux.
Un livre pour vous faire découvrir, les histoires insolites et les jeux politiques, et qui dévoile les secrets cachés de la France-Afrique, de l’ex-AOF à Madagascar.

Ne laissez jamais seule une personne qui a perdu un être cher.

C’est la porte ouverte aux souffrances incontrôlables, et incompréhensibles pour l’entourage.

Même avec le temps, une vérité à éclaircir ne le sera jamais, transformée de façon inattendue et imprévisible.

à qui la faute ?
pour qui la peine ?

À moins que le destin ne laisse apparaître une solution, une illusion consolante ; qu’il laisse venir au milieu des obsessions un espoir salvateur... un grand secours qui serait d’accepter de ne pas en avoir... de renoncer à tout.

Durant les années 90, l’Algérie sombre dans la violence. On appelle cette période la décennie noire. Ce conflit entre le pouvoir et les islamistes plonge le pays dans une tourmente très exaltée des Droits humains. Des civils se font massacrer par milliers. Des femmes violées et des enfants tués. Face à cette tuerie, le peuple doute-t-il du vrai responsable ?
Dans ce roman, l’auteur délivre la vérité sur le plan machiavélique de l’état. Sa complicité avec les islamistes lui a permis l’extension du fléau islamique en Kabylie. C’est dans cette région que les deux protagonistes choisissent leur propre destin. Adil le fait par conviction spirituel et Akli selon les aléas de la vie auxquels est il confronté.
La littérature montre sa magie pour changer l’attitude d’une personne, encore une fois.

Comment survivre à l’absence de l’être aimé ?
Rien ni personne ne comblera ce vide.
« À qui dire qu’on a mal » et « qu’on est seul » sans faire fuir ?
Quelques lignes suffisent à redonner vie à l’impossible retour du passé, à créer un dialogue surnaturel spontané.
On sera à nouveau si bien ensemble, au coeur d’une existence qui a été belle... la vie a été longue alors on ne peut plus s’arrêter d’évoquer les moindres souvenirs heureux.
Mais gare à la chute et au puits sans fond de la souffrance. Elle n’épargnera pas celui qui reste dans sa solitude, malgré toutes les théories psychologiques et autres.
En plus de la solitude, il faudra affronter seule, le redoutable vieillissement qui demande tant de patience, de dévotion et d’indulgence, en fait, tant d’amour absent.
C’est que le corps et l’esprit ne vont pas au même pas.
Il faut bien se résigner, renoncer et rester dans son coin sombre, en guettant la moindre lueur d’espoir qui s’appelle la Foi.
Mais il arrive que l’on ne puisse plus attendre, que le temps soit trop long ; il reste l’ultime solution de mettre fin à ses jours ; ce que Dieu nous pardonnera bien.
Bienheureux disparu au repos éternel, prépare-moi une place « auprès du Seigneur ».

Si tu doutes des notions philosophiques religieuses que l’on t’a plus ou moins consciemment inculquées dès ta plus tendre enfance, si tu t’interroges face aux différentes interprétations des textes dits “sacrés” et des courants religieux, des organisations plus ou moins sectaires qui en découlent, ce livre est pour toi... Si tu es ferme dans tes convictions, si tu penses détenir l’ultime Vérité, celle qu’on devrait imposer ou du moins proposer à tous les humains, ce livre est aussi pour toi car il peut t’ouvrir d’autres horizons... S’efforçant de distinguer l’essentiel de l’accessoire, l’auteur de ce modeste essai ose t’offrir sa part de vérité (ou d’erreur ?) persuadé que tu y trou- veras du grain à moudre...

C’était avant la crise des « subprimes ». Le milliardaire Américain David Rockefeller1 alors président de la Trilatérale déclarait devant les classes dirigeantes des pays de la triade. (États-Unis, Europe, Japon) :
« Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la crise majeure et le peuple acceptera le nouvel ordre mondial. »
Depuis, deux crises ont détourné 1100 Milliards € de ressources publiques (notre argent) vers les marchés financiers et le secteur marchand sans contre parties. Ils ont doublé la dette de la France : Le casse du siècle !
Pour quels résultats ?
 

Cet ouvrage est dédié à tous les Français de tout âge et de toute origine Qu’ils soient blancs, noirs ou jaunes, peu importe. Qu’ils soient catholiques, protestants, musulmans ou juifs n’a aucune importance. La tolérance demeure toujours une vertu cardinale.
Seules la haine et la détestation d’autrui renferment dans leur noyau le germe de tous les maux de la société. Dans nos veines et artères coule du sang de la même couleur..
Nous appartenons tous à un même peuple, à une seule nation et à une même république. Nous partageons en commun la langue et la culture qui s’est forgée au cours des siècles passés. Tous ceux qui arrivent quelle que soit l’époque ; y sont automatiquement immergés comme dans l’eau du baptême.