L’auteur utilise des poèmes en prose. À travers les lignes et les
pages, il cherche à partager avec ses lecteurs, tout au long du livre
son amour pour le divin et la nature.
Cet amour devient pour lui de véritables chemins de lumière vers
un idéal d’inspiration et de bonheur.
En effet, dans ces textes les anges et le divin chantent la beauté
du monde et nous rappellent que nous sommes tous à l’école de
l’Éternel.
Facile à lire, ce livre laisse place à l’imaginaire poétique.
Ce sont des rêves à partager qui tentent, si peu soit-il, de donner
une lumière d’espoir sur le chemin de nos vies.

Le ciel se dessine au soleil de l’amour
qui guide mes pas et ceci pour toujours
Oui éternelle en mon coeur je n’ose t’avouer
Que tu embellis mon ciel et notre éternité
Extrait « à mon amour» (1)

A paraître

En avril 1967, dans la forêt de Southampton, Elizabeth et Jacques, âgés de 15 ans, se rencontrent dans une discothèque. D’un simple flirt de quelques jours, dans un état passionnel, ils sont loin de se douter que cet événement va bouleverser leurs destins. Un homme et une femme unis l’un à l’autre par une passion exemplaire, attachés par un lien invisible, mais indestructible pendant 52 ans.
Jacques est devenu médecin pyschiatre-psychothérapeute. Elizabeth, maman célibataire, a exercé, pour pour voir à ses besoins à la mort de ses parents, comme assistante sociale dans un service d’accueil d’adultes handicapés. Ils ont été séparés pendant 30 ans par manque de communication.
Ils ont traversé au cours de leurs vies communes tantôt des moments de bonheur quasi extatiques, tantôt des drames inconsolables. Ils se sont retrouvés trente ans plus tard grâce à Facebook et ont décidé de refaire leur vie ensemble en laissant tout de leur passé. Leur histoire est unique.

1995
Les attentats sont de retour, les gens subissent des contrôles de palpation dans leurs déplacements, la peur est au quotidien.
Explosions, meurtres, vols : un fléau National.
Est-ce un groupe déterminé à créer la psychose ou bien une coïncidence des faits?
Dans les Banlieues, les jeunes poussent leurs colères suite aux mépris de leurs compétences, du lieu de résidence et de l’amalgame toute faite sur leurs origines.
La drogue fait un ravage, que ce soit chez les Dealers ou Consommateurs. Pour l’argent, certains sont prêts à tout perdre jusqu’à mourir… 

Olivia, petite fille de 10 ans, croit bien faire en racontant à ses sœurs, les rêves, les visions de nuit, mais, doucement elle voit s’éloigner d’elle sa famille, se retrouve seule, renfermée sur elle-même, dans un amour filial quelle croyait pouvoir partager. Au fil du temps, la maladie et le décès de tante Jeanne sont un chagrin insurmontable.
Olivia s’efforce de chercher chez l’autre l’amour, un sourire ou une gentillesse qu’elle ne trouve pas. Elle fait plus confiance en personne. Seule quelques amies de passage trouveront grâce à ses yeux. Mais dans son cœur, c’est le vide.

Nouvelles plurielles - Acte II est un voyage à travers les territoires et les émotions, les caractères et les destins, à travers la vie.
Une chronique tenue par un homme de l’ombre, faite de confessions sur le quotidien de ce microcosme sans pareil qu’est la prison, une immersion dans un univers sujet à bien des fantasmes. Une galerie de portraits dressés comme les composantes d’une fresque sociale, des petites histoires qui entreront dans la grande. Une famille endeuillée au sein de laquelle chacun tient sa place, jusqu’au bout. Une rencontre aussi surprenante que l’échange qui la constitue, une ode à la sympathie qui en outre interroge sur le rapport entre la loi et la morale. Une parcelle d’un chemin de vie, celui d’une femme profonde, dans la spiritualité comme dans la détresse. Un périple en Amérique du Sud, dans l’Altiplano, où les hauteurs ne sont pas seulement géographiques, une fuite nécessaire qui deviendra le tournant d’une vie.

Une jeune femme, Joy, gagne un voyage au Texas. Durant son séjour, elle rencontre Karina, une réceptionniste de l’hôtel ainsi que Léo, un client. Ces deux amitiés vont l’entraîner, malgré eux, à son enlèvement. Ainsi, commence une poursuite contre la montre pour les deux policiers chargés de l’enquête. Ces derniers, se rendant rapidement compte que cette affaire est plus complexe que prévue, sont obligés d’accepter toute aide, même la plus improbable. Quant à Joy, elle essaie de survivre dans cet enfer. Une fois libérée, elle apprend à affronter ses traumatismes et ses cauchemars. En outre, malgré la menace qui continue à planer, elle doit refaire confiance à la vie... pas à pas.

Au détour d’un « Travaux Pratiques » réalisé dans le cadre de son enseignement universitaire, Antoine Bertin, biologiste au Centre de Médecine Légale de Strasbourg, observe un étrange profil ADN dans des échantillons tissulaires provenant de victimes d’un crash aérien. S’agirait-il d’OGMs humains ? Troublé par cette hypothèse, il se tourne vers son ancienne directrice de thèse, Liselotte Muller. Avec l’aide de sa collègue marseillaise Albane Mousli et de l’inspecteur Mahé Beauvalon, fraichement débarqué de son Ile natale de la Réunion, elle se lance dans une enquête « scientifico-policière » qui la mènera de l’IR2C de Strasbourg à l’IBI de Marseille, deux instituts de recherche fondamentale prestigieux, à la poursuite de la vérité.

Ce puissant récit de vie témoigne de l’existence de Béatrice Lambert, qui ne l’a pas épargnée, ainsi d’un lien indéfectible entretenu par ses « guides ».
Par le biais de messages qui lui sont transmis, Béatrice vous relate comment combattre diverses épreuves pour remporter toutes les batailles sur la vie.
C’est habitée de passion, du plus profond du coeur, de sincérité que Béatrice met son don au service de ceux qui en ont besoin.
Ce témoignage est une merveilleuse leçon de vie, et un puissant message d’espoir à mettre entre toutes les mains.
Vous comprendrez et constaterez que l’impossible devient possible.

De beaux contes de Noël qui varient à travers le monde, mettant en scène des personnages hauts en couleur et magiques, face à des Êtres ordinaires. L’auteure reprend les codes des fêtes traditionnelles, à faire rêver les lecteurs nostalgiques de leur enfance.

Un jour de doute et d’anxiété Gabriel reçoit un appel inconnu. Au bout du fil à 6000 kilomètres de là son interlocuteur lui apprend que sa sœur, Anne, victime d’un accident est plongée dans le coma. Obligé de retourner sur les lieux de son enfance pour s’occuper de Nina, sa nièce, il retrouve ce qu’il avait perdu : son amour pour le Gabon, ce pays qu’il avait quitté un soir d’été. Guidé par ses souvenirs il découvre le quotidien d’Anne à travers les yeux et les mots de sa fille. 
Ce petit bout de terre est une histoire de famille et se transmet de génération en génération. C’est une passion virale que Gabriel tentera de léguer à Nina. 
Entre le journal intime d’Anne et les lettres de Nina à sa mère, Gabriel évolue dans un environnement où les joies se mêlent aux peines. 

Un homme,  un village, deux pays : quatre destins étroitement liés.

L’auteur, à partir de 1866 et à travers la biographie de son père né en 1911, nous envoie une carte postale de la vie quotidienne de ce petit village franco-belge qui sent bon le ch’ti.

 De nombreuses  anecdotes et de fréquents rappels historiques émaillent ce récit qui analyse les événements  importants  survenus entre 1866 et 1979.  

 Avec  modération, mais sans concession, l’auteur remet les pendules à l’heure et  coupe le cou à certaines croyances souvent bien ancrées.

Enfin, il lance un vibrant appel aux jeunes  pour une société plus juste dans  une Europe unie.

Dans Laisse braire, le premier roman de Cyrielle Marais, les règlements de comptes avaient la vedette, la narratrice et personnage principal, se battait dans un harcèlement moral aux multiples visages, pour  tenter de se construire ; son seul soutient et complice, sa mère.
Dans ce deuxième épisode, celle-ci vient de mourir laissant sa fille adorée totalement démunie, en voie de clochardisation.
Depuis cinq ans, elles s’étaient réfugiées toutes les deux dans un quartier tranquille, après avoir fuit la haine d’un voisinage qui répandait sur leur quotidien un vent malsain.  
Et là, c’est simplement le temps qui joue son rôle de guillotine. 
La mort frappe les animaux et la doyenne, celle qui était la force, l’amour, et… le porte-monnaie.
Nelly se retrouve seule sans avoir prévu son futur ni même son présent. 
Son équilibre  s’effondre ; déchirée entre le désir de survivre et un immense chagrin, la narratrice n’a plus que les mots  tapés sur le clavier pour ne pas sombrer dans une effroyable solitude de l’âme.